Julien Lepers, son fils caché fait des confidences renversantes …

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Le magazine France Dimanche rapporte les propos d’Alexandre L., 34 ans, qui assure être le fils de Julien Lepers.
L’ancien animateur de Question pour un champion aurait un fils caché. Il y a peu, un certain Alexandre L., âgé de 34 ans, est sorti de l’ombre pour affirmer être le fils que Julien Lepers n’a jamais reconnu. Auteur-compositeur-interprète, il s’est exprimé dans les colonnes du magazine France Dimanche. 
« Je suis né à Paris, mais j’ai grandi à Amiens, où je vis actuellement », a-t-il révélé, affirmant travailler dans le domaine musical. « J’ai été élevé par mon beau-père puisque mon géniteur, Julien Lepers, ne m’a jamais reconnu ». C’est à 6 ans qu’il aurait su que l’animateur est son père. Cette situation aurait compliqué les rapports à l’école. 
« Les autres enfants qui ne voyaient que ma mère, me traitaient de bâta*d et se moquaient de moi en demandant ‘Où est ton père? », a-t-il confié. Alexandre L. aurait rencontré une fois Julien Lepers. Ils auraient même passé des vacances ensemble et le jeune homme aurait fait la connaissance des membres de sa famille. 
Mais l’animateur n’aurait pas supporté que ce supposé fils caché l’appelle papa. « On est sûr de rien », lui aurait-il dit. Après quoi, ils ne se seraient plus revus. « Il a changé de numéro de téléphone et ne m’a plus jamais recontacté », explique l’auteur-compositeur. Les tests de paternité réalisés n’ont pas donné les mêmes résultats. 
Ce 18 février, Cyril Hanouna s’est intéressé dans son émission Touche pas à mon poste au sujet. Le jeune était d’ailleurs ce jour l’invité du trublion de C8. « On a fait trois tests. Le premier était à 98%, c’était extrêmement probant. Il a demandé une contre-expertise. C’est descendu ensuite entre 60 et 70%. Et puis on a demandé un autre, et c’est descendu à 55%. On ne comprend pas trop pourquoi », a-t-il expliqué. 


Après avoir appris de la bouche de sa mère l’identité de son géniteur lorsqu’il était petit, Alexandre confie avoir voulu en savoir davantage à l’adolescence. « A mes treize, quatorze ans, j’ai voulu le voir, en savoir plus […] A u bout d’un moment, on se pose des questions, savoir qui on est, d’où on vient », dit-il. 

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