Florie Galli a évoqué sur son compte Instagram le temps qui passe et la manière dont grandissent ses enfants, particulièrement le petit dernier.
La famille Galli, que les télespectateurs retrouvent régulièrement dans le programme de TF1, Familles nombreuses: la vie en XXL, est devenue tout aussi populaire sur les réseaux sociaux, avec plus de 280.000 abonnés sur Instagram. Aussi, la maman, Florie, revêt la veste de l’influenceuse, comme plusieurs autres mères de familles nombreuses dans l’émission.
Florie Galli partage avec sa communauté régulièrement sur différents sujets. Ceux-ci vont des bons plans, codes promo et autres, en passant par les problèmes de santé, les prises de tête, les moments de fatigue. Celle qui est à la tête d’une tribue de 5 enfants s’est confiée de nouveau à ses abonnés ce 24 septembre sur Instagram.
Si d’habitude, elle partage surtout concernant ses triplés, cette fois, c’est le petit dernier, Paul, qui a été au centre de ses confidences. La compagne de Bastien s’étonnait de voir son fils grandir beaucoup trop vite. Le petit garçons a eu deux ans au mois de juillet dernier. « J’ai l’impression que tu es venu au monde hier et je n’ai rien vu passer », a noté la maman de 38 ans.
Elle a délivré sur le réseau social une série de photo de Paul, dont elle disait plus tôt dans le docuréalité qu’il cherchait déjà à imiter ses frères et soeurs, juste plus âgés que lui. Ce qui fait, estime sa maman, qu’il soit « autonome pour son âge ». Ce côté positif fait tout de même naître une crainte dans le coeur de la compagne de Bastien.
« J’ai peur que tu grandisses bien trop vite… comme si tu devais aller plus vite pour rattraper les autres… », a écrit Florie qui décrit son dernier enfant comme un « gentil petit garçon » « remplie d’énergie ». Paul « veut tout apprendre » et « parle déjà très bien », affirme la maman. S’il la rend fière, Paul ne manque pas aussi de la faire rire.
« Je pleure de rire quand je te vois courir avec tes petits pieds trop mignons qui claquent par terre… », affirme Florie. Ce qui la blesse, c’est quand le petit garçon réclame son père et non pas elle. « Je préfère quand même quand tu appelles maman d’abord (et oui j’avoue) », confesse la mère de famille nombreuse.
