La fille de Dominique et Bernard Tapie s’est exprimée suite à l’enquête parue dans les colonnes de Paris Match, relatif aux difficultés financières auxquelles fait face la veuve de l’homme d’affaires.
« Je t’imaginais plus talentueuse, la plume serrée entre trois doigts. Voilà une arme bien dangereuse, qui peut faire tant de dégâts », a écrit sur Instagram Sophie Tapie, la fille de Dominique Tapie, visiblement peu ravie par l’article paru dans les colonnes de Paris Match et qui affirmait sa mère désormais ruinée.
La chanteuse qui vivrait au Canada n’a pas souhaité s’adresser aux journalistes du magazine Closer qui l’ont contactée. « Tout ce que j’avais à dire, je l’ai exprimé dans ce post. Ca ne m’intéresse pas », a-t-elle affirmé. Dominique Tapie de son côté ne s’est pas exprimée depuis la publication des révélations de Sophie des Désert.
« A 71 ans, elle touche une retraite de 450 euros et doit désormais compter ses sous, vendre ses objets de valeur, et demande même de l’aide pour parvenir à payer les derniers salaires de ses employés », rapportait de son côté le magazine Closer qui est également revenu sur les difficultés que traversent la veuve de Bernard Tapie.
Cette dernière avait notamment été surprise par la vente de l’hôtel de Cavoye, rue des Saints-Pères dans le 7ème arrondissement de Paris. L’établissement dans lequel elle logeait jusqu’à il y a peu de temps avait été cédé l’été 2021 par Bernard Tapie au richissime François Pinault, pour la somme de 80 millions d’euros.
« Je ne savais pas que mon mari avait vendu », avait déclaré Dominique Tapie qui est même contrainte de libérer l’appartement qu’elle a hérité de sa grand-mère. Elle ne serait parvenue à se reloger que grâce à Jean-Louis Borloo qui lui a trouvé un appartement rive gauche dont il se charge de payer le loyer.
Peu de temps avant le décès de Bernard Tapie, sa dette s’élevait à « exactement 607,5 millions d’euros », d’après Me Jean-Pierre Martel, l’avocat des créanciers. « Pour le moment, nous n’avons encore rien touché », affirmait-il, expliquant que cela « signifie qu’environ 90000 euros par jour s’accumulent de la dette initiale ».
