Ary Abittan fait face à des problèmes financiers, conséquence de l’accusation de viol et d’agression sexuelle qui pèse contre lui. L’exemple lui est donné avec Gérard Depardieu.
Ary Abittan connait depuis le mois d’octobre dernier une descente aux enfers. Accusé de viol et d’agression sexuelle par une jeune femme avec qui il avait une relation, le comédien a été lâché par plusieurs de ses proches et a perdus des contrats. Il ferait désormais face à de terribles ennuis financiers.
La voie à suivre lui serait montrée par Gérard Depardieu qui est confronté à une accusation identique. Mis en examen pour les mêmes motifs, l’acteur qui n’a pas souhaité répondre aux interrogations du Journal du Dimanche au sujet de cette accusation, aurait plusieurs projets en cours et ne compte pas s’arrêter là.
Ary Abittan, depuis le début du scandale qui le touche, s’est fait discret. Sur le plateau de Touche pas à mon poste, Benjamin Castaldi avait regretté le manque de solidarité dans le métier. « Je trouve qu’il pourrait y avoir une espèce de solidarité du métier, d’autant qu’il y a une instruction en cours », avait-il affirmé.
Des propos vers lesquelles convergeait en partie Valérie Benaïm, également chroniqueuse dans l’émission diffusée sur C8. « Je dis juste qu’il ne faut pas prendre position, ni pour l’un ni pour l’autre (…) Vis-à-vis du métier, je trouve que ce n’est pas très cool pour lui », poursuivait l’ancien présentateur de Secret Story.
Quelques mois plus tôt, Bernard Montiel avait pris la défense de la tête d’affiche de Qu’est ce qu’on a encore fait au Bon Dieu sur le plateau de Touche pas à mon poste. Une démarche qui a fait de lui une cible. Claudia Tagbo qui a partagé l’affiche avec le comédien dans le même film a affirmé dans les colonnes du magazine Gala: « On ne doit pas juger ».
« Je ne suis pas dans l’affaire et je ne sais pas ce qui s’est passé. J’espère que les deux vont bien et vont se retrouver pour pouvoir s’expliquer. La justice est là, ce n’est pas moi », a déclaré la comédienne de 48 ans qui s’est dite « surprise. Comme tout le monde », lors de la révélation des accusations qui pèsent contre son collègue.
