Différentes personnalités se sont exprimées sur l’affaire de viol et d’agression sexuelle qui complique la vie à Ary Abittan depuis le mois d’octobre dernier.
Ary Abittan devrait bientôt connaître son sort quant aux accusations portées contre lui par une jeune femme de 23 ans. Depuis, le comédien a été lâché par plusieurs de ses collègues et de nombreux projets lui ont échappé. Certaines personnalités ont donné leurs impressions concernant le sujet.
« C’est une surprise. Comme tout le monde, j’étais abasourdie », a déclaré Claudia Tagbo qui a tourné avec Ary Abittan dans Qu’est ce qu’on a encore fait au Bon Dieu. La comédienne de 48 ans ne s’est cependant pas prononcée pour un parti ou l’autre, même si la voix de la victime semble davantage retentir en elle, alors qu’elle connait particulièrement l’humoriste.
« Je ne suis pas dans l’affaire et je ne sais pas ce qui s’est passé. J’espère que les deux vont bien et vont se retrouver pour pouvoir s’expliquer. La justice est là, ce n’est pas moi. On ne doit pas juger », a affirmé dans les colonnes du magazine Gala l’actrice qui ne manque pas de dire ce qu’elle pense.
Claire Chazal regrettait il y a quelque temps le rôle des réseaux sociaux dans ce genre d’affaire, où l’accusé a déjà été « jugé ». « Je suis malheureusement surprise par l’époque dans laquelle nous vivons. Cela consiste à jeter en pâture des noms, à les condamner définitivement sans même que la justice soit intervenue », avait déclaré la journaliste.
« Je suis très malheureux », a affirmé pour sa part Claude Lellouche dans les colonnes du magazine Paris Match le 30 décembre dernier. « C’est quelqu’un que j’aime bien et qui me fait rire… Je voudrais croire que c’est une histoire qui a mal tourné », ajoutait l’ancien compagnon d’Evelyne Bouix, sans toutefois prendre la défense de son ami.
« Mais je me rangerai à la décision de justice. Elle dira la vérité. C’est une valeur fondamentale de notre démocratie », a encore dit le réalisateur avant de poursuivre au sujet de l’interprète de Qu’est ce qu’on a fait au Bon Dieu: « Il faut juste lui donner les moyens et le temps. Et se préserver du tribunal médiatique ».
